Pour revaloriser cette friche industrielle, siège de la catastrophe encore dans nos mémoires (2001), la Métropole de Toulouse a investi dans la construction d’une centrale de 15 mégawatts (MW) sur les 25 hectares de la friche (les autres investisseurs sont entre autres la Régie d’électricité de la ville de Toulouse et l’Agence régionale Energie Air Climat de la Région Occitanie).
Ce projet permettra la production annuelle de 19.350 mégawattheures (MWh), faisant de la zone le plus grand parc solaire urbain de France